La sophrologie ne peut en aucun cas se substituer à un traitement ou à un avis médical. Elle intervient en support complémentaire pour apporter au patient les meilleurs conditions émotionnelles, mentales et morales.
Je me déplace en structure médicale : hôpital, centre anti-douleur, maison de retraite, service de périnatalité, d’oncologie ou d’addictologie et reçoit en cabinet.
La sophrologie, certes, ne soigne pas mais, en support d’un traitement médical, elle accompagne pour :
- mieux vivre les traitements et à renforcer leurs effets
- diminuer l’impact des effets secondaires
- restaurer l’image de soi
- favoriser la guérison
Cette thérapie brève (citée comme soin de support dans le dernier Plan cancer édité par le ministère de la santé) permet de :
- soulager la douleur
- mieux gérer les effets indésirables des traitements (nausées, brûlures, démangeaisons…)
- garder le moral
- se préparer aux interventions chirurgicales
- être actif(ve) dans son traitement
Elle représente un soutien appréciable à la prise en charge médicale et à la guérison.
Dans le cas de la fibromyalgie, elle contribuera à la diminution de l’intensité des douleurs et au retour d’une nécessaire vitalité. Elle favorisera une meilleure qualité de vie au quotidien. Elle aide ainsi les malades à mobiliser toute l’énergie nécessaire durant le parcours de soin.
La sophrologie intervient notamment dans l’accompagnement des phobies, comme celle des transports, bien qu’elle ne les soigne pas. Elle va surtout permettre de mieux les gérer. Il en sera de même pour les addictions (tabac, alcool, et autres).
Elle permet aussi de se préparer dans les meilleures conditions à une opération ou un accouchement.
Séances d’une heure, collectives (tarifs sur devis) ou individuelles (60 euros l’heure en cabinet)
Pour aller plus loin …
La pleine conscience peut-elle éviter le baby-blues ? (Slate)
La sophrologie, une alternative douce pour oublier les acouphènes (Marie-Claire)